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Envoyez de l'argent en Afrique , sans perdre de l'argent est ce possible ?
8 avr. 2022



Peut-on vraiment éviter les détournements d’argent ? Ce que dit l’expérience terrain.
Dans l’univers des transferts d’argent internationaux, un paradoxe persiste. Alors que les technologies financières évoluent à une vitesse fulgurante, des milliards d’euros envoyés chaque année vers l’Afrique finissent encore mal utilisés, mal tracés, ou au cœur de tensions. Selon plusieurs études terrain et enquêtes utilisateurs, jusqu’à 30 à 40 % des fonds envoyés par la diaspora ne sont pas utilisés comme prévu. Peut-on vraiment y remédier ? Loin des promesses vagues, cet article propose une analyse concrète des leviers pour reprendre le contrôle sur chaque euro envoyé.
Pourquoi l’argent est-il si souvent mal utilisé ?
La cause première n’est ni la mauvaise foi, ni la fraude organisée. Dans la majorité des cas, les détournements d’usage relèvent de trois facteurs :
L’absence de mécanisme de suivi clair, une fois le virement effectué.
Les priorités divergentes entre l’expéditeur et le bénéficiaire.
La pression familiale ou sociale, qui pousse certains à redistribuer l’argent pour des raisons extérieures à l’objectif initial.
La confiance est souvent la seule garantie du bon usage des fonds. Mais dans un monde où les malentendus coûtent cher, elle ne suffit plus.
Ce que révèle l’expérience terrain
Depuis plusieurs années, des plateformes expérimentent des solutions techniques pour restaurer cette confiance, en allant au-delà du simple transfert. L’une des réponses les plus prometteuses : le virement conditionné.
Cas concrets observés :
Des jeunes en Europe ont réussi à faire construire leur maison familiale sans conflit, grâce à un séquestre libéré uniquement sur preuve photo validée.
Une entrepreneure congolaise a bénéficié d’un soutien de sa sœur à Paris, avec paiement automatique uniquement aux fournisseurs agréés, évitant ainsi que l’argent ne disparaisse en charges diverses.
Des associations ont financé des écoles, avec des fonds débloqués étape par étape, selon des règles définies au préalable.
Dans tous ces cas, le point commun est la mise en place d’un cadre, où les conditions d’usage, les preuves, et les bénéficiaires autorisés sont fixés dès le départ.
Kobatela : quand la technologie devient garde-fou
La solution développée par Kobatela pousse cette logique plus loin : chaque transfert devient un mandat programmable. L’utilisateur peut :
Choisir un usage ciblé (éducation, santé, travaux…).
Bloquer les fonds sur un compte séquestre sécurisé.
Définir des preuves à fournir avant déblocage.
Sélectionner des prestataires agréés et certifiés.
Cette approche ne remplace pas la confiance, elle la renforce par la transparence.
Ce que cela change concrètement
Avant Kobatela :
Incertitude permanente
Conflits ou malentendus
Aucune preuve possible
Usage libre des fonds
Avec Kobatela :
Conditions définies à l’avance
Suivi transparent et sécurisé
Archivage photo et validation
Usage limité selon vos règles
En mettant en place un cadre simple, mais structurant, les envois d’argent retrouvent leur vocation initiale : soutenir, investir, construire.
Conclusion : Oui, on peut reprendre le contrôle
Éviter 100 % des détournements est utopique. Mais réduire drastiquement les risques, pacifier les relations, et protéger l’impact de chaque euro envoyé, c’est désormais possible.
Avec les bons outils, les transferts d’argent cessent d’être des paris à perte pour devenir des leviers de transformation.
Peut-on vraiment éviter les détournements d’argent ? Ce que dit l’expérience terrain.
Dans l’univers des transferts d’argent internationaux, un paradoxe persiste. Alors que les technologies financières évoluent à une vitesse fulgurante, des milliards d’euros envoyés chaque année vers l’Afrique finissent encore mal utilisés, mal tracés, ou au cœur de tensions. Selon plusieurs études terrain et enquêtes utilisateurs, jusqu’à 30 à 40 % des fonds envoyés par la diaspora ne sont pas utilisés comme prévu. Peut-on vraiment y remédier ? Loin des promesses vagues, cet article propose une analyse concrète des leviers pour reprendre le contrôle sur chaque euro envoyé.
Pourquoi l’argent est-il si souvent mal utilisé ?
La cause première n’est ni la mauvaise foi, ni la fraude organisée. Dans la majorité des cas, les détournements d’usage relèvent de trois facteurs :
L’absence de mécanisme de suivi clair, une fois le virement effectué.
Les priorités divergentes entre l’expéditeur et le bénéficiaire.
La pression familiale ou sociale, qui pousse certains à redistribuer l’argent pour des raisons extérieures à l’objectif initial.
La confiance est souvent la seule garantie du bon usage des fonds. Mais dans un monde où les malentendus coûtent cher, elle ne suffit plus.
Ce que révèle l’expérience terrain
Depuis plusieurs années, des plateformes expérimentent des solutions techniques pour restaurer cette confiance, en allant au-delà du simple transfert. L’une des réponses les plus prometteuses : le virement conditionné.
Cas concrets observés :
Des jeunes en Europe ont réussi à faire construire leur maison familiale sans conflit, grâce à un séquestre libéré uniquement sur preuve photo validée.
Une entrepreneure congolaise a bénéficié d’un soutien de sa sœur à Paris, avec paiement automatique uniquement aux fournisseurs agréés, évitant ainsi que l’argent ne disparaisse en charges diverses.
Des associations ont financé des écoles, avec des fonds débloqués étape par étape, selon des règles définies au préalable.
Dans tous ces cas, le point commun est la mise en place d’un cadre, où les conditions d’usage, les preuves, et les bénéficiaires autorisés sont fixés dès le départ.
Kobatela : quand la technologie devient garde-fou
La solution développée par Kobatela pousse cette logique plus loin : chaque transfert devient un mandat programmable. L’utilisateur peut :
Choisir un usage ciblé (éducation, santé, travaux…).
Bloquer les fonds sur un compte séquestre sécurisé.
Définir des preuves à fournir avant déblocage.
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Cette approche ne remplace pas la confiance, elle la renforce par la transparence.
Ce que cela change concrètement
Avant Kobatela :
Incertitude permanente
Conflits ou malentendus
Aucune preuve possible
Usage libre des fonds
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Conditions définies à l’avance
Suivi transparent et sécurisé
Archivage photo et validation
Usage limité selon vos règles
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Conclusion : Oui, on peut reprendre le contrôle
Éviter 100 % des détournements est utopique. Mais réduire drastiquement les risques, pacifier les relations, et protéger l’impact de chaque euro envoyé, c’est désormais possible.
Avec les bons outils, les transferts d’argent cessent d’être des paris à perte pour devenir des leviers de transformation.
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